Le questionnaire de santé de l'assurance crédit pose problème à certains emprunteurs, car déclarer sa maladie peut entrainer un refus de crédit : faut-il pour autant mentir pour l'assurance crédit ?
Mentir dans le questionnaire de santé de l'assurance crédit : quelles conséquences ? |
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Avant d'accorder un prêt immobilier, la banque exige toujours que l'emprunteur souscrive une assurance qui garantira le remboursement des mensualités si l'emprunteur n'est plus apte à travailler à la suite d'un accident ou d'une maladie grave. Or, l'assureur exige au moins que l'emprunteur remplisse un questionnaire médical dans lequel il doit signaler tous les antécédents de santé qu'il a eus. Il en résulte hélas qu'une personne qui a été gravement malade dans le passé ne pourra pas réaliser son projet immobilier si l'assureur refuse de garantir son prêt. Il en est de même en ce qui concerne les personnes qui ont des maladies chroniques telles que le diabète ou l'hypertension artérielle.
Avec des taux d'intérêt historiquement bas, beaucoup d'entre nous pensent à la solution du rachat de crédit pour diminuer le montant de leurs mensualités ou pour raccourcir la durée de leurs prêts. Quand faut-il faire un rachat de crédit ? Réponses dans la suite de l'article.
Notre premier conseil est de préférer les prêts modulables qui peuvent bénéficier du lissage et de la possibilité de report d’échéance.
Le Prêt à taux zéro renforcé (également appelé PTZ+), né en 2011, a connu de nombreux modifications suite à la loi de finances 2012. Depuis début 2012, le Prêt à taux zéro renforcé est recentré sur l’immobilier neuf et ses conditions d’obtention ont été renforcées. Quelles sont ces modifications ? Retour sur le PTZ+ dans la suite de l’article.